vendredi 3 mai 2013

Même avec un AVC de leur président les Algériens n’auront pas droit au changement



Le 27 avril, on apprend que, suite à des problèmes de santé, Abdelaziz Bouteflika a été admis au Val de Grâce pour des examens médicaux. 
Victime d’un léger AVC, son état n’inspire pas d’inquiétude, selon des sources dites autorisées. 
Ouf, les Algériens sont sauvés, leur président surmonte même un AVC et pourra s’il le veut briguer un autre mandat en 2014, à condition de réviser, encore une fois, la constitution. 
Mais que ne ferait-on pas pour les hommes providentiels ?

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